Girafe
Aux échecs féeriques,
pièce qui suit un chemin dont le segment unitaire
est la diagonale d'un rectangle 2 × 5. Si on considère que la girafe se
déplace orthogonalement, elle visite une cellule verticalement (ou
horizontalement), tourne à angle droit en un sens ou en un autre, puis s’arrête
à la quatrième cellule horizontalement (ou verticalement). Ce déplacement est
noté (1, 4).
Sur un échiquier, la girafe saute toujours sur une case de l’autre
couleur.
La girafe permet de créer des récréations
analogues à celles du cavalier.
En 1980, George Jelliss (1914-1999) a donné deux chemins de longueur maximale
qui peuvent être parcourus par ce sauteur lorsque le
chemin est non rentrant sur un
échiquier. On y compte 15 segments lorsque le chemin est ouvert et 12 segments
lorsque le chemin est fermé. Les voici :
© Charles-É. Jean
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: G
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