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Publications |
Ceci est le sixième livre édité par Récréomath.
Secrets des carrés
magiques d'ordre 3
Par Charles-É. Jean
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Avant-propos
Depuis des siècles, les carrés magiques ont été l’objet
de nombreuses recherches et ont intéressé les mathématiciens
professionnels et amateurs. Quant à nous, notre étude a porté
uniquement sur les carrés magiques constitués de neuf cases. Nous
avons été surpris de constater combien ces carrés magiques sont
riches en propriétés et combien leurs composantes sont intimement
liées entre elles.
Pour examiner certaines réalités, nous avons dû
créer des mots en les empruntant à d’autres parties des
mathématiques et en leur donnant un sens spécifique. Nous avons
cherché à choisir les expressions qui nous semblaient les plus en
relation avec l’évolution des mathématiques.
Nous espérons que cet ouvrage pourra aider toute
personne à comprendre davantage la réalité des carrés magiques et
peut-être à lui donner le goût de pousser la recherche. Si nos
espoirs se réalisaient, nous serions heureux d’avoir apporté cette
minime contribution à la science des mathématiques.
Bonne lecture ! |
***
Chapitre 1
Généralités
Sommaire.
Notion de carré magique. Éléments d’un
carré magique. Ordre d’un carré magique. Nombre d’éléments d’un
carré magique. Nombre de rangées d’un carré magique. Densité d’un
carré magique d’ordre n. Médian d’un carré magique d’ordre
n. Somme des éléments. Éléments homologues. Relations entre
les carrés magiques. Carré magique homogène. Scalaire. Carré magique
inverse. Carré magique nul. Carré magique unitaire. Carrés magiques
remarquables.
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1.01 Notion de carré magique
Un carré magique est un ensemble de nombres
réels placés dans les cases d’une grille carrée dont les sommes
horizontales, verticales et diagonales sont égales. Le carré ci-dessous est
magique.
Première ligne : 10 + 1 + 7 = 18
Deuxième ligne : 3 + 6 + 9 = 18
Troisième ligne : 5 + 11 + 2 = 18
Ce sont les sommes horizontales.
Première colonne : 10 + 3 + 5 =
18
Deuxième colonne : 1 + 6 + 11 = 18
Troisième colonne : 7 + 9 + 2 = 18
Ce sont les sommes verticales.
Première diagonale : 10 + 6 + 2
= 18
Deuxième diagonale : 7 + 6 + 5 = 18
Ce sont les sommes diagonales.
Les lignes, les colonnes et les diagonales forment les
rangées du carré magique. |
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1.02 Éléments d’un carré magique
Les nombres réels qui composent le carré magique
sont appelés éléments. De façon générale, les carrés magiques sont
désignés par des lettres majuscules A, B, C… et les éléments par des
lettres minuscules a, b, c … Les lettres minuscules sont
munies d’indices qui indiquent le rang de la ligne et de la colonne. Dans cet
exemple,
a 11 |
a 12 |
a 13 |
a 21 |
a 22 |
a 23 |
a 31 |
a 32 |
a 33 |
a11
est l’élément de la ligne 1 et de la colonne 1.
a12 est l’élément de la ligne 1 et de la colonne 2
………………………………………………
a21 est l’élément de la ligne 2 et de la colonne 1.
Les éléments placés aux deux extrémités d’une rangée
sont dits éléments extrêmes. Par exemple, a11 et a13
sont les éléments extrêmes de la première ligne ; a11
et a33 sont les éléments extrêmes de la première
diagonale.
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n On peut représenter les
éléments d’un carré magique par un ensemble dit associé :
a) en énumérant les éléments qui appartiennent au carré
magique.
Exemple. {1, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 11} est l’ensemble associé au carré ci-dessous.
b) en énonçant une propriété des éléments qui
appartiennent au carré magique. Exemple. {z est un entier
relatif tel que 2 £ z
£ 10}
est l’ensemble associé à :
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1.03 Ordre d’un carré magique
Un carré magique A qui contient n
lignes et n colonnes est appelé un carré d’ordre n. On
le note An.
Dans le carré ci-dessous, a11 = 9, a12
= 2, a13 = 7, a21 = 4, etc.
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1.04
Nombre d’éléments d’un carré magique
Un carré magique d’ordre n
contient n2 éléments. Par exemple, un carré magique
d’ordre 3 contient 3 ´ 3 éléments ou
neuf éléments.
n Un
carré magique d’ordre 3 peut être constitué :
a) par neuf éléments différents. Par exemple, l’ensemble associé
est {2, 4, 6, 8, 10, 12, 14, 16, 18}. Voici une disposition des
éléments :
b) par sept éléments différents. Par exemple, l’ensemble
associé est {2, 3, 4, 5, 6, 7, 8}.
Deux éléments apparaissent deux fois dans le carré
magique. Dans l’ensemble associé, ils correspondent au troisième et
au cinquième élément. Dans ce cas, les éléments doubles doivent
être situés de part et d’autre de l’élément central et
équidistants de cet élément.
c) par cinq éléments différents. Par exemple, l’ensemble
associé est {3, 6, 9, 12, 15}.
Deux éléments apparaissent deux fois et un élément
apparaît trois fois dans le carré magique. Dans l’ensemble associé,
le deuxième et le quatrième élément y sont deux fois et le
troisième élément trois fois.
d) par trois éléments différents. Par exemple, l’ensemble
associé est {1, 4, 7}.
Les trois éléments apparaissent trois fois dans le carré magique.
Chaque élément de l’ensemble associé y est trois fois.
e) par un élément. Par exemple, l’ensemble
associé est {4}.
L’élément apparaît neuf fois dans le carré magique. Ce carré
magique est dit homogène.
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1.05
Nombre de rangées d’un carré magique
Un carré magique d’ordre n contient 2(n + 1)
rangées. En effet, on a n lignes, n colonnes et deux
diagonales. Par exemple, un carré magique d’ordre 3 contient huit
rangées.
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1.06 Densité d’un carré magique d’ordre
n
Le nombre réel qui correspond aux
sommes horizontales, verticales ou diagonales d’un carré magique d’ordre
n est appelé la densité du carré magique. Soit A un carré
magique d’ordre n, la densité est notée d(An)
ou d(A). Par exemple, si la densité de A est 21, on écrit d(A) = 21.
On peut associer à chaque carré magique une et une
seule densité représentée par un nombre réel. Cette correspondance
détermine une fonction pour laquelle le carré magique est un élément
du domaine et la densité un élément du codomaine.
Soit M l’ensemble des carrés magiques et d la fonction, on
a une fonction de M dans les nombres réels. On peut écrire : d(M)
= x où x appartient à l’ensemble des nombres réels. |
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1.07 Médian d’un carré magique d’ordre
n
n Le
médian d’un carré magique d’ordre n est l’élément
commun aux deux diagonales.
a) si n est pair. Les deux diagonales n’ont
aucun élément commun. Le médian n’existe pas.
b) si n est impair. Le médian aij
existe. Dans ce cas, i = j = (n + 1)/2. Par
exemple, si n = 3, le médian est noté a22.
n Le médian m d’un
carré magique d’ordre 3 est égal au tiers de la densité du carré
magique. Soit A un carré magique et d la densité,
On peut écrire :
a 11 |
a 12 |
a 13 |
a 21 |
a 22 |
a 23 |
a 31 |
a 32 |
a 33 |
a11
+ a22 + a33 = d
a12 + a22 + a32 = d
a13 + a22 + a31 = d
En additionnant membre à membre ces trois
égalités, on obtient :
(a11 + a12
+ a13) + 3a22 + (a31
+ a32 + a33) = 3d
d + 3a22 + d = 3d
3a22 = d
3m = d
D’où m = d/3.
En conséquence, la densité d’un carré magique d’ordre
3 est égale à trois fois le médian : d = 3m.
Corollaire : Si la densité d’un carré
magique d’ordre 3 est nulle, alors le médian est nul et
réciproquement. |
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1.08 Somme des éléments
n Sachant
que n2 éléments forment un carré magique d’ordre n,
on peut calculer la densité sans connaître la position des éléments
dans le carré. La densité d d’un carré magique d’ordre n
est le quotient de la somme S des éléments du carré et de l’ordre n
du carré. En effet, sur une même ligne (ou colonne), la somme de n
éléments est d. Comme il y a n lignes (ou colonnes), la
somme S de n2 éléments est nd. D’où, S = nd
et d = S/n.
n La
somme S de tous les éléments d’un carré magique d’ordre 3 est
donc égale à :
a) trois fois la densité, i.e. S = 3d
b) neuf fois le médian, i.e. S = 9m. |
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1.09 Éléments homologues
Les éléments homologues de deux carrés
magiques sont les éléments de mêmes indices d’un carré à l’autre.
Par exemple, 7 et 18 sont des éléments homologues, tout comme 10 et
27.
9 |
2 |
7 |
|
24 |
3 |
18 |
4 |
6 |
8 |
|
9 |
15 |
21 |
5 |
10 |
3 |
|
12 |
27 |
6 |
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1.10 Relations entre les carrés magiques
n Deux carrés
magiques A et B sont égaux
1. s’ils sont de même ordre.
2. si les éléments homologues sont égaux.
Soit A le premier carré et B le second, on dit que A = B.
22 |
1 |
16 |
|
22 |
1 |
16 |
7 |
13 |
19 |
|
7 |
13 |
19 |
10 |
25 |
4 |
|
10 |
25 |
4 |
|
|
n
Deux carrés magiques A et B sont équivalents :
1. s’ils sont de même ordre.
2. si tous les éléments de A sont dans B et réciproquement.
3. si au moins un élément de A prend une autre position dans B.
Soit A le premier carré et B le second, on dit que A est équivalent
à B ou A @ B.
9 |
2 |
10 |
|
5 |
12 |
4 |
8 |
7 |
6 |
|
6 |
7 |
8 |
4 |
12 |
5 |
|
10 |
2 |
9 |
|
|
n
Deux carrés magiques A et B sont colinéaires :
1. s’ils sont de même ordre.
2. s’ils ont la même densité.
Soit A le premier carré et B le second, on dit que A et B sont
colinéaires puisque d(A) = d(B) = 15.
8 |
1 |
6 |
|
5 |
4 |
6 |
3 |
5 |
7 |
|
6 |
5 |
4 |
4 |
9 |
2 |
|
4 |
6 |
5 |
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n Deux carrés magiques
A et B de même ordre sont différents si au moins un élément de A n’apparaît
pas dans B ou réciproquement.
Soit A le premier carré et B le second, on dit que A est différent
de B.
16 |
2 |
12 |
|
12 |
3 |
9 |
6 |
10 |
14 |
|
5 |
8 |
11 |
8 |
18 |
4 |
|
7 |
136 |
4 |
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n Deux carrés magiques
égaux sont nécessairement colinéaires. Étant donné que les
éléments homologues sont égaux, la densité des deux carrés magiques
est égale.
n Deux carrés magiques
équivalents sont nécessairement colinéaires. Soit A et B deux carrés
magiques d’ordre n dont la somme des éléments est
respectivement s et s1.
d (A) = s/n
et d(B) = s1/n. Or, s = s1,
car tous les éléments de A sont dans B et réciproquement. Donc, d(A)
= d(B) et les deux carrés magiques sont colinéaires. |
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n Deux carrés magiques
colinéaires d’ordre 3 ont le même médian. En effet, si A et B sont
colinéaires, alors d(A) = d(B).
Soit m le médian de A et m1
le médian de B, m
= d(A)/3 et m1 = d(B)/3. Or, d(A) =
d(B). Donc, m = m1.
Soit A le premier carré et B le second, on peut
écrire : d(A) = 39, d(B) = 39, m(A) = 13 et m(B)
= 13.
19 |
5 |
15 |
|
22 |
1 |
16 |
9 |
13 |
17 |
|
7 |
13 |
19 |
11 |
21 |
7 |
|
10 |
25 |
4 |
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n Deux carrés magiques
équivalents d’ordre 3 ont le même médian. On sait que deux carrés
magiques équivalents sont nécessairement colinéaires. Donc, étant
colinéaires, ces carrés ont le même médian. En conséquence, le
médian d’un carré magique d’ordre 3 est unique et ne peut être
déplacé. On ne peut donc pas intervertir la deuxième ligne contre une
autre ligne et la deuxième colonne contre une autre colonne : car
ceci entraînerait le déplacement du médian. Nous pouvons donc
déduire que deux carrés magiques équivalents d’ordre 3 ont toujours
au moins un élément dans la même position et cet élément est le
médian. Exemple.
Soit A le premier carré et B le second, on peut
écrire : d(A) = 33, d(B) = 33, m(A) = 11 et m(B)
= 11.
18 |
2 |
13 |
|
18 |
6 |
9 |
6 |
11 |
16 |
|
2 |
11 |
20 |
9 |
20 |
4 |
|
13 |
16 |
4 |
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Le tableau suivant nous fait voir les relations qui
existent entre les couples de carrés magiques. Par
exemple, on peut lire : Deux carrés magiques différents peuvent
être colinéaires.
|
égaux |
équivalents |
colinéaires |
différents |
égaux |
|
ne
sont
jamais |
sont
nécessairement |
ne
sont
jamais |
équivalents |
ne
sont
jamais |
|
sont
nécessairement |
ne
sont
jamais |
colinéaires |
peuvent
être |
peuvent
être |
|
peuvent
être |
différents |
ne
sont
jamais |
ne
sont
jamais |
peuvent
être |
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1.11 Carré magique homogène
n Un carré
magique homogène est un carré magique dont tous les éléments sont
égaux. Les éléments de ce carré sont appelés la base du carré.
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Kn est un carré magique
homogène d’ordre n et de base k. L’ensemble associé
à Kn est {k}. Voici un carré magique
homogène d’ordre 3 et de base 7 :
Un carré magique qui a au moins un élément
différent des autres n’est pas homogène.
n La
densité d’un carré magique homogène d’ordre n et de base k
est nk. Dans un carré magique d’ordre 3, si la base est 7, la
densité est 21.
n La
base k d’un carré magique homogène K d’ordre n est
égale au rapport de la densité d et de l’ordre n du
carré. En effet, d(Kn) = nk et k
= d(Kn)/n. D’où k = d/n. |
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n Connaissant
l’ordre et la densité d’un carré magique homogène, on ne peut
construire qu’un seul carré magique. En effet, la base est unique.
Elle est égale à d/n. Voici un carré magique homogène
d’ordre 3 dont la densité est 7 ½ :
2 ½ |
2 ½ |
2 ½ |
2 ½ |
2 ½ |
2 ½ |
2 ½ |
2 ½ |
2 ½ |
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1.12 Scalaire
Tout nombre réel peut être égal à un carré magique de n’importe
lequel ordre et est alors appelé scalaire. Soit K3 =
Ici, k est un scalaire. On pourra écrire Kn
= k. Le carré magique ainsi obtenu est un carré magique d’ordre
n et de base k. Par exemple, le carré magique suivant est
équivalent à K3 = 4.
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n La
densité d’un scalaire k transformé en carré magique
homogène d’ordre n et de base k est égale à nk.
Soit Kn = k un carré magique homogène. Alors d(Kn)
= nk. D’où, d(k) = nk. Exemple. Soit A =
d(A)
= d(5) = nk = 3 ´
5 = 15 |
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1.13 Carré magique inverse
Le carré dont les éléments sont les
inverses multiplicatifs des éléments d’un carré magique homogène An,
est appelé carré magique inverse. Il est noté A-1n
et il est homogène.
Exemple 1. Soit A le premier carré et
A-1
l’inverse du premier, A-1 est aussi un carré
magique.
2 |
2 |
2 |
|
½ |
½ |
½ |
2 |
2 |
2 |
|
½ |
½ |
½ |
2 |
2 |
2 |
|
½ |
½ |
½ |
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1.14 Carré magique nul
Un carré magique nul est un carré
magique homogène dont la base est 0. Il est parfois désigné par la
lettre O. Le carré
magique On est donc égal au scalaire 0. Par ailleurs,
il n’a pas de carré inverse. Exemple.
Corollaire. Tout carré magique homogène K d’ordre n et de
densité 0 est un carré magique nul. Soit k la base de K et d(K)
= 0, alors k = d(K)/n et k
= 0. D’où, K = 0. |
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1.15 Carré magique unitaire
Un carré magique unitaire est un carré
magique homogène dont la base est 1. Il est parfois désigné par la
lettre I. Le carré
magique In est donc égal au scalaire 1. Exemple.
Corollaire. Tout carré magique homogène K d’ordre n et de
densité n est un carré magique unitaire. Soit k la base
de Kn et d(K) = n, alors k = d(K)/n
et k = 1. D’où,
K = I. |
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1.16 Carrés magiques remarquables
Il existe des carrés magiques d’ordre 3
qui ont des propriétés différentes de l’ensemble des carrés
magiques. En voici cinq :
1. Un carré magique formé des entiers consécutifs
de 1 à 9
Ce carré magique est connu sous le nom de lo-shu et remonte au temps de
l’empereur chinois Ta-Yu, lequel régna de 2205 à 2198 avant J.C. Il
est probablement le plus ancien carré magique connu. |
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2. Un carré magique formé de nombres premiers
101 |
29 |
83 |
53 |
71 |
89 |
59 |
113 |
41 |
Les neuf nombres du carré varient de 29 à 113 et sont tous premiers.
La densité du carré est 213 et la somme des éléments est 639.
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3. Un carré magique formé de fractions décimales
qui utilisent tous les chiffres significatifs
0,8 |
0,1 |
0,6 |
0,3 |
0,5 |
0,7 |
0,4 |
0,9 |
0,3 |
Les chiffres significatifs sont les chiffres de 1 à 9. La densité de ce carré magique est 1,5 et la somme des éléments
est 4,5.
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4. Un carré magique dont les éléments ont les
mêmes chiffres dans un autre ordre.
Chacun des nombres est composé des chiffres 1, 4, 2,
8, 5, 7 dans cet ordre circulaire. Si on considère les deux parties de
chaque nombre et si on additionne ces parties, on obtient 999 999.
571 428 |
142 857 |
571 428 |
428 571 |
428 571 |
428 571 |
285 714 |
714 285 |
285 714 |
Exemple. 142 + 857 = 999. La densité est égale à 1 285 713.
Si on prend le premier chiffre 1 et on l’ajoute à 713, on obtient 714
et on retrouve les mêmes chiffres dans le même ordre, ce qui fait 285
+ 714 = 999. On pourrait vérifier les mêmes propriétés pour la somme
des éléments qui est 3 857 139.
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5. Un carré magique formé de nombres renversés
deux à deux
La densité du carré magique est 1 666 665
et la somme des éléments est 4 999 995.
888 222 |
111 999 |
666 444 |
333 777 |
555 555 |
777 333 |
444 666 |
999 111 |
222 888 |
|
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Voir Chapitre
2
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