Les nombres figurés
Un nombre figuré est
le cardinal d'un ensemble de points, lesquels sont arrangés de façon
régulière en une figure géométrique. Des points disposés en ligne droite
forment un nombre linéaire, si bien que tout entier est linéaire.

Un ensemble de points
disposés de façon régulière en un polygone régulier convexe représente un
nombre polygonal. Citons les nombres triangulaires,
carrés, pentagonaux,
hexagonaux, que nous illustrons par un exemple.

Les polygones
convexes non réguliers ont été l'objet de peu d'attention. En particulier, la
classe des nombres
rectangulaires a été définie par rapport aux nombres
oblongs ou hétéromèques (1). Ceux-ci correspondent à un ensemble de points
disposés en un rectangle dont un côté mesure une unité de plus que l'autre.
La suite des oblongs ou hétéromèques est 2, 6, 12, 20, 30, 42, etc.

Il existe également
des classes de nombres figurés à trois dimensions. Mentionnons les cubiques
et
les pyramidaux qui peuvent être classés selon la forme de la base de leur
pyramide. En particulier, Albert H. Beiler (2) et Maurice Kraitchik
(3) ont
étudié les nombres de dimension supérieure à 3.
Dans le cadre de cet
article, notre intention est de faire une brève présentation des nombres
triangulaires et d'introduire, par la suite, une nouvelle classe : les nombres
trapézoïdaux.
1. Les nombres
triangulaires
Un nombre
triangulaire est représenté par des lignes de points disposés en un triangle.
Chaque ligne horizontale successive contient 1, 2, 3, 4, 5, etc. points. Les
cinq plus petits triangulaires sont :

Certains auteurs
présentent ces nombres ainsi :

Remarquons qu'un
même nombre de points apparaît sur chaque côté du triangle extérieur. Ce
nombre qui est la mesure du côté est égal au rang du triangulaire dans
l'ordre numérique croissant, de même qu'au nombre de lignes de points de la
figure. Dans ce sens, nous pouvons considérer le triangle comme équilatéral.
Nous pouvons
également représenter les triangulaires par des carrés, des cercles ou des
boules linéaires. En adoptant ces formes sur un plan, il est possible alors de
faire de la manipulation. Voici le triangulaire 15 au moyen de carrés et de
boules :

Tout triangulaire est
constitué, à partir du précédent, par l'ajout d'une ligne de points ou de
boules dont le nombre est égal à son rang. Sous son aspect arithmétique, tout
triangulaire est formé par la somme des entiers consécutifs à partir de
l'unité.
1 = 1
3 = 1 + 2 6 = 1
+ 2 + 3 10 = 1 + 2 + 3 + 4 15 = 1 + 2 + 3 + 4 +
5
Ces entiers forment
une progression arithmétique de raison 1 dont le nombre de termes est égal au
dernier. En appliquant la formule de la somme des termes d'une progression
arithmétique, nous pouvons identifier le triangulaire t de tout rang n.
[1] 
Huit figures d'un
même triangulaire disposées autour d'un point central forment un carré.

C'est là l'essence
même d'une proposition énoncée et démontrée par Diophante (v. 325 - v. 410)
dans son Arithmétique
: l'octuple d'un triangulaire augmenté de l'unité est toujours un carré.
Nous pouvons en
déduire que si l'expression (8z + 1), où z est un entier
naturel, est un carré, alors z est triangulaire. Son rang n est :
[2] 
Par exemple, 666 est
un triangulaire car : (8 × 666) + 1 = 5329 = 732.
Son rang est égal à (73 - 1)/2 = 36. D'où, 666 est le 36e
triangulaire.
2.
Notion d'un nombre trapézoïdal
Cette brève
présentation des triangulaires nous amène à étudier une nouvelle classe de
nombres que nous appellerons trapézoïdaux, puisque la figure formée de points
a la forme d'un trapèze. Les points sont disposés de façon régulière comme
dans un triangulaire et chaque ligne contient un point de plus que la ligne
supérieure, également comme dans un triangulaire.
Prenons une figure
illustrant le triangulaire 21 et retenons l’ensemble des boules vertes,
comme il est illustré. Nous obtenons le trapézoïdal 12.

Un nombre
trapézoïdal est le cardinal d'un ensemble de points ou de boules, lesquels
sont disposés en lignes parallèles contenant successivement un point ou une
boule de plus que la ligne supérieure. Lorsque la ligne du sommet contient un
point ou une boule, le nombre est aussi triangulaire. Nous considérons donc les
trapézoïdaux comme un sous-ensemble des triangulaires. Sous sa forme
arithmétique, un trapézoïdal est la somme d'entiers consécutifs à partir de
n'importe lequel entier.
Tout nombre
triangulaire possède une figure unique. Toutefois, les trapézoïdaux peuvent
accepter plus d'une représentation. Voici, à titre d'exemples, les trois
figures du trapézoïdal 30 :

Si nous complétons
dans leur partie supérieure chacune de ces figures par des lignes de boules
ayant successivement une boule de moins jusqu'à l'unité, la partie ajoutée
formera un triangulaire de même que la figure complète.
Inversement, en
coupant la partie supérieure d'un triangulaire parallèlement à la base de
telle façon qu'il reste plus d'une ligne de boules, nous obtenons un
trapézoïdal. Le triangulaire 21, auquel on retranche 3 ou 10, deux autres
triangulaires, donne une représentation des trapézoïdaux 18 et 11.

3. Identification des
nombres trapézoïdaux
Nous allons montrer
que tous les entiers, sauf 2 et les puissances entières de 2, sont des
trapézoïdaux.
Nous savons qu'un
trapézoïdal est la somme d'entiers consécutifs. Appelons a le plus
petit entier et b le nombre de termes de la suite. La somme des termes
qui correspond au trapézoïdal T pourra s'écrire ainsi :
[3]
Construisons la table
des trapézoïdaux en fonction des valeurs de a et de b.
|
âb/a
à
|
1 |
2 |
3 |
4 |
5 |
6 |
7 |
8 |
9 |
10 |
11 |
|
2 |
3 |
5 |
7 |
9 |
11 |
13 |
15 |
17 |
19 |
21 |
23 |
|
3 |
6 |
9 |
12 |
15 |
18 |
21 |
24 |
27 |
30 |
33 |
36 |
|
4 |
10 |
14 |
18 |
22 |
26 |
30 |
34 |
38 |
42 |
46 |
50 |
|
5 |
15 |
20 |
25 |
30 |
35 |
40 |
45 |
50 |
55 |
60 |
65 |
|
6 |
21 |
27 |
33 |
39 |
45 |
51 |
57 |
63 |
69 |
75 |
81 |
|
7 |
28 |
35 |
42 |
49 |
56 |
63 |
70 |
77 |
84 |
91 |
98 |
|
8 |
36 |
44 |
52 |
60 |
68 |
76 |
84 |
92 |
100 |
108 |
116 |
|
9 |
45 |
54 |
63 |
72 |
81 |
90 |
99 |
108 |
117 |
126 |
135 |
|
10 |
55 |
65 |
75 |
85 |
95 |
105 |
115 |
125 |
135 |
145 |
155 |
|
11 |
66 |
77 |
88 |
99 |
110 |
121 |
132 |
143 |
154 |
165 |
176 |
Faisons une brève
analyse de ce tableau. Lorsque b est égal à 2, le trapézoïdal est de
la forme (2a + 1). Les multiples consécutifs de (2a + 1)
apparaissent dans les autres rangées horizontales suivant une régularité que
nous allons décrire. Par exemple, les multiples de T(5, 2) = 11 sont : T(4,
4) = 22, T(3, 6) = 33, T(2, 8) = 44, T(1, 10) = 55, T(1,
11) = 66, T(2, 11) = 77, T(3, 11) = 88, etc.
Nous observons que le
passage d'un multiple à l'autre jusqu'à 55 s'effectue selon le saut classique
du cavalier aux échecs c'est-à-dire que a diminue successivement d'une
unité tandis que b augmente de 2. Par ailleurs, 66 est dans la même
colonne que 55, mais sur la ligne immédiatement inférieure. Les autres
multiples de 11 à partir de 66 sont dans la même ligne que 66, là où a
est égal à 11.
Nous pouvons généraliser cette situation en énonçant
trois propositions :
Lemme 1. Les
multiples du trapézoïdal T(a, 2), où a est plus grand que 2,
apparaissent de façon consécutive selon le saut du cavalier, jusqu'à ce que a
soit égal à 1.
Posons a = p
et b = 2q, où p et q sont des entiers naturels,
dans l'équation [3].
T1
= (2p + 2q - 1)q
Posons a = p
- 1 et b = 2q + 2.
T2
= (2p + 2q - 1)(q + 1)
Lorsque a
diminue de 1 et que b augmente de 2, tout nombre et son successeur,
repérés dans la table, ont (2p + 2q -1) comme facteur commun.
Ces nombres sont des multiples consécutifs de T(a, 2) jusqu'à T(1,
2a) qui est égal au produit de a et de T(a, 2).
Lemme 2. Les
trapézoïdaux T(1, 2a) et T(1, 2a + 1) sont deux
multiples consécutifs de T(a, 2). En effet, T(1,
2a) = (2a + 1)a et T(1, 2a + 1) = (2a
+ 1)(a + 1). Par ailleurs, T(a, 2) = (2a + 1).
Lemme 3. Tous les
trapézoïdaux d'une même rangée horizontale sont des multiples consécutifs
de b, lorsque b est impair. En effet, tout nombre
d'une même ligne, d'après la formule [3], est égal à :
.
Comme b
conserve toujours la même valeur et que a augmenté successivement d'une unité,
les multiples de b sont consécutifs à partir de (b + 1)b/2.
D'après les lemmes 1
et 2, les multiples de T(a, 2) apparaissent de façon consécutive
jusqu'à ce que a soit égal à 1 et que b soit égal à (2a
+ 1). D'après le lemme 3, à partir de T(1, 2a + 1), les autres
multiples consécutifs apparaissent tous dans une même rangée horizontale.
Nous pouvons donc affirmer que tous les multiples de tout entier impair à
partir de 3 se trouvent dans la table. En conséquence, tous les entiers impairs
et les multiples pairs de ces entiers y apparaissent au moins une fois.
Il nous reste à
vérifier si 2 et les puissances entières de 2 peuvent se retrouver dans la
table. De par la formule [3], quelle que soit la parité de a, si b
est pair, alors (2a + b - 1) est impair. Par ailleurs, si b
est impair, alors (2a + b - 1) est pair. L'un des deux facteurs
est donc pair et l'autre impair. Or, 2 et les puissances entières de 2 n'ont
que des facteurs pairs, si on excepte 1. D'où, 2, 4, 8, 16, 32, ...
n'apparaissent pas dans la table.
En conséquence, tous
les entiers, sauf 2 et les puissances entières de 2, sont des trapézoïdaux.
4. Recherche des
figures d'un trapézoïdal
D'après la formule
[3], un trapézoïdal est égal au produit de deux facteurs : (2a + b
- 1) et b/2 si b est pair. Il est égal au produit de (2a + b - 1)/2 et de b si b est impair. Transformons la formule en fonction de
a.
[4]

4.1 Considérons
d'abord le cas où b est impair.
La plus petite valeur
possible de a est l'unité. En remplaçant a par 1 dans la formule
[4] et en résolvant l'équation obtenue, nous pouvons identifier la plus grande
valeur de b que nous appellerons la limite.
[5]

Chaque diviseur de T,
sauf 1, inférieur ou égal à la limite, engendre donc une figure
trapézoïdale.
Soit le trapézoïdal
33. Les diviseurs sont 1, 3, 11 et 33. Selon la formule [5], la plus grande
valeur de b est 7,639... Parmi les diviseurs de 33, seul 3 peut être
retenu. Si b est égal à 3, alors a est égal à 10. La figure
est T(10, 3).
4.2 Considérons le
cas où b est pair.
En somme, sauf 1,
chaque diviseur d'un trapézoïdal, inférieur à la limite obtenue, engendre
une figure trapézoïdale. De même, chaque double d'un diviseur d'un
trapézoïdal, qui respecte cette limite, permet une figure trapézoïdale.
5. Degré d'un
trapézoïdal
Le degré d'un
trapézoïdal est le nombre de figures qui lui est associé. Nous allons tenter
de trouver une formule qui permettra de calculer le degré d'un trapézoïdal
sans connaître ses représentations. Le tableau des trapézoïdaux donné
précédemment va nous aider dans ce sens.
Comme nous l'avons
expliqué, nous y trouvons successivement les multiples des impairs consécutifs
à partir de 3. En conséquence, tout trapézoïdal apparaîtra dans la table
autant de fois qu'il est un multiple d'un entier impair. Nous devons donc
compter le nombre de diviseurs impairs d'un trapézoïdal et soustraire ce
nombre d'une unité, étant donné que 1 est exclu. Ainsi, 45 a six diviseurs
impairs : 1, 3, 5, 9, 15 et 45. Son degré est 5. Par ailleurs, 36 a trois
diviseurs impairs : 1, 3 et 9. Son degré est 2.
La théorie des
nombres nous apprend que si ai.bj.ck... est la factorisation
en nombres premiers d'un entier positif, alors le nombre de diviseurs positifs
de cet entier est : (i + 1)(j + 1)(k + 1)... Or, un entier
impair n'a que des diviseurs impairs. En conséquence, le degré d'un
trapézoïdal impair est : (i + 1)(j + 1)(k + 1)... - 1.
Par ailleurs, le
nombre de diviseurs impairs d'un entier pair est aussi égal à (i + 1)(j
+ 1)(k + 1) ... où i, j, k sont les exposants des
nombres premiers supérieurs à 2. Ainsi, les trapézoïdaux k et 2n.k,
où n est un entier naturel, sont de même degré.
En résumé, tout
nombre de la forme 2n.ai.bj.ck ... est un trapézoïdal de degré (i
+ 1)(j + 1)(k + 1) ... - 1 , lorsque a, b, c,
... sont des nombres premiers supérieurs à 2 et que i, j, k,
..., n sont des entiers naturels. Cherchons le degré de 396. Sa
factorisation en nombres premiers est : 22 × 32 × 11. Le degré est (2 + 1)(1 + 1) - 1
= 5.
Dans les propositions
suivantes, l'expression purement pair fait référence à 2 et aux
puissances entières de 2. Par exemple, 9 est un trapézoïdal de degré 2. Les
nombres 18, 36, 72, 144, ... sont aussi de degré 2. On a 9 × 2, 9 × 4, 9 × 8, 9
× 16, ...
Proposition 1.
Tout nombre premier impair, de même que ses multiples purement pairs, sont des
trapézoïdaux de degré 1. Réciproquement, tout trapézoïdal impair de degré
1 est un nombre premier. Les dix plus petits trapézoïdaux de degré 1 sont :
1, 3, 5, 6, 7, 10, 11, 12, 13 et 14.
Proposition 2.
Tout carré d'un nombre premier impair, de même que ses multiples purement
pairs, sont des trapézoïdaux de degré 2. Les dix plus petits trapézoïdaux
de degré 2 sont : 9, 18, 25, 36, 49, 50, 72, 98, 100 et 121.
Proposition 3.
Tout cube d'un nombre premier impair et tout entier formé par le produit de
deux nombres premiers impairs différents, de même que leurs multiples purement
pairs respectifs, sont des trapézoïdaux de degré 3. Les dix plus petits
trapézoïdaux de degré 3 sont : 15, 21, 27, 30, 33, 35, 39, 42, 51 et 54.
Proposition 4.
Toute quatrième puissance d'un nombre premier impair, de même que ses
multiples purement pairs, sont des trapézoïdaux de degré 4. Les dix plus
petits trapézoïdaux de degré 4 sont : 81, 162, 324, 625, 648, 1250, 1296,
2401, 2500 et 2592.
Proposition 5.
Plus généralement, tout nombre premier impair élevé à une puissance
entière n, de même que leurs multiples purement pairs, sont des
trapézoïdaux de degré n.
Proposition 6.
Plus généralement, tout nombre de la forme 2n.ai.bj.ck ... où
a, b, c, ... sont des nombres premiers impairs différents et où i, j, k, ... et
n sont des entiers naturels, sont des
trapézoïdaux de degré (i + 1)(j + 1)(k + 1) ... - 1.
Voici deux tableaux
contenant, pour chaque degré inférieur à 21, le plus petit trapézoïdal :
|
Degré |
1 |
2 |
3 |
4 |
5 |
6 |
7 |
8 |
9 |
10 |
11 |
12 |
|
Trapézoïdal |
1 |
9 |
15 |
81 |
45 |
729 |
105 |
225 |
405 |
59 049 |
315 |
531 441 |
|
Degré |
13 |
14 |
15 |
16 |
17 |
18 |
19 |
20 |
|
Trapézoïdal |
3645 |
2025 |
945 |
43 046 721 |
1575 |
387 420 489 |
2835 |
18225 |
Propriétés
et recherche
La considération des
nombres trapézoïdaux nous permet de cerner davantage les propriétés des
sommes d'entiers consécutifs. Nous savons maintenant que tout entier, sauf 2 et
ses puissances entières, peut s'écrire d'au moins une façon comme la somme
d'entiers consécutifs. Un autre résultat intéressant est que, si un entier
impair est un trapézoïdal de degré 1, il est un nombre premier. Cette
propriété remarquable pourrait constituer une approche nouvelle pour établir
la primalité d'un entier. Toutefois, il faudrait alors que notre démarche pour
déterminer le degré d'un trapézoïdal s'appuie sur une base autre que la
factorisation en nombres premiers. Si une telle autre base pouvait être
trouvée, nous aurions une formule pour connaître la primalité d'un entier.
D'autres classes de
nombres pourraient être définies en fonction de la somme d'entiers formant une
suite arithmétique. Nous savons que les nombres carrés sont formés par la
somme d'entiers consécutifs impairs à partir de l'unité. De plus, il va de
soi que la somme des entiers consécutifs pairs à partir de 2 correspond au
double d'un nombre triangulaire. Une des avenues serait de considérer n'importe
lequel entier comme point de départ.
* * * * *
Enfin, la classe des
trapézoïdaux constitue un vaste champ de recherche élémentaire. Dans ce
contexte, nous présentons dix problèmes.
1. Quel est le nombre
de boules nécessaires pour établir toutes les figures trapézoïdales de 1000
?
2. Combien y a-t-il
de nombres inférieurs à 1000 qui ne sont pas trapézoïdaux ?
3. Combien y a-t-il
de trapézoïdaux de degré 1 inférieurs à 1000 qui sont en même temps
triangulaires ?
4. Combien y a-t-il
de trapézoïdaux de degré 2 inférieurs à 1000 ?
5. En considérant,
comme triplets, trois entiers consécutifs qui sont trapézoïdaux, quel est le
plus petit triplet de degré 3 ?
6. En considérant
comme jumeaux deux entiers consécutifs, combien y a-t-il de trapézoïdaux
jumeaux de degré 4 et inférieurs à 1000 ?
7. Combien y a-t-il
de trapézoïdaux de degré 5 inférieurs à 1000 et dont le dernier chiffre est
5 ?
8. Quel est le plus
petit trapézoïdal de degré 7 qui n'est pas divisible par 5 ?
9. Quel est le plus
petit trapézoïdal de degré 100 ?
10. Quel est le
deuxième plus petit trapézoïdal pour chaque degré inférieur à 21 ?
Û